norscq, Gelatinosa Substancia (OS.029)

40,00


titles taken from Jim Harrison’s novel « Warlock » (French translation by Serge Lentz).
all music composed, performed and produced by Norscq in July 2007 and April / May 2008.
mexican banda recorded in Oaxaca, Mexico on May 6th 2006.
trombones on …il est étrange de voir à quel point les gens sont disposés à se laisser abuser par les apparences magiques de l’art… by Joël Lainé.
voice on …en ce temps-là, sa tête abritait un sacré désordre…
by Johnie Zucchini, lyrics by Ibrahim Quraishi.
voices on …les clochards sont les millonnaires du soleil… by Robbie Mack and Baz recorded by Black Sifichi in Glasgow, Scotland.
photo session and voice on …il y avait en elle quelque chose de gracieux, bien que profondément triste, quelque chose d’océanique, de parfaitement vivant…
by Maria Ziegelböck.
special thanks to Manfred, Maria, Pierre, Patricia, Kirk, Ibrahim, Nicolas L. and M., Christophe and much respect to Jim Harrison for his beautiful and inspiring writings.

Graphic Design Olivier Hüz

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Description

… est un film apparemment issu du cinéma Américain des années 50 ou 60, il a été découvert par Norscq dans un grenier d’une petite ville bretonne en 2008. Bien qu’au cours des décennies, les images se soient érodées, « Gelatinosa Substancia » possède une bande-son impeccable acclamée comme ‘pionnière et essentielle’, si loin des musiques électroniques qu’expérimentaient les cinéastes de l’époque. La musique, que Norscq a récupérée et traitée trame par trame de manière experte, était composée et conçue afin de transcender l’aspect dramatique, excitation et émotion qui auraient été normalement transmis par la voix des acteurs. La composition musicale nous emmène dans un voyage avec force et grande physicalité et très souvent prend la place des dialogues.
« Gelatinosa Substancia » se révèle être une étrange curiosité. Tout d’abord, on ressent le son comme s’il avait été enregistré sur une période de plus de 50 ans. La qualité et la précision de l’enregistrement évoluent et fluctuent sans cesse, s’améliorant probablement au fur et à mesure de l’arrivée progressive des nouvelles techniques d’enregistrement. On a la sensation cependant que les musiciens restent les mêmes en dépit des changements radicaux de la qualité des enregistrements. « Ils joueront pendant qu’ils se déplacent qu’ils soient sur un manège ou sur un bateau » remarque-t’on dans un des journaux du metteur en scène. « De ce fait, la musique créera la sensation d’un voyage, sensation que nous sommes effectivement en mouvement, même si le rythme est lent et au plus bas et si les bourdons nous laissent en apesanteur … le public atteindra des situations inconnues, hors des étoiles tout en regardant le film ».
Robert Scott © 2009.

… could be confused with the experimental American cinema from the 1950’s or 60’s and was discovered in an attic in a small town on the Brittany 2008 by Norscq. While over the decades the images have eroded, ‘Gelatinosa Substancia’ has an impeccable musical soundtrack hailed as ‘pioneering and pivotal’, so different from the usual musical electronic experiments cinéasts were dabbling with in the early days. The music, which Norscq has extracted and expertly treated frame by frame, was composed and designed to carry the drama, emotion and excitement that would normally be transmitted through the voices of the actors. The musical composition takes us on a journey in a physical way and often replaces the dialogue.
‘Gelatinosa Substancia’ is a strange curiosity. Firstly, the sound feels as though it had been recorded over a 50 year time span. The quality and sharpness of the recording fluctuates and evolves. Possibly improving along with the emergence of the newer recording equipment of the era. We sense that the musicians are always the same despite the radical changes in quality. ‘They will play while they move, whether it be on a merry-go-round or a boat’, underlined in one of the diaries. ‘By way of this, the music will create the sensation of a voyage, that we are actually moving, even if the rhythm is slow and ebbing, or the drones leave us floating in space… the audience will rise to an unknown place. Out to the stars, as they watch the film’.
Robert Scott © 2009